Partager l'article ! Le mec du Tom's Bar: J’étais sorti simplement pour consoler mon ami M. qui me surprenait tout le temps par la complexité de ses problème ...
J’étais sorti simplement pour consoler mon ami M. qui me surprenait
tout le temps par la complexité de ses problèmes. Nous nous sommes retrouvés dans un café de la Motzstrasse, en plein quartier chaud de Berlin. M. y a ses habitudes, j’ai donc partagé un verre
avec lui et d’autres mecs assez peu intéressants, puis un deuxième verre. Berlin est une ville où beaucoup de gens vont et viennent et j’ai donc appris à me laisser surprendre par des inconnus
dans des cafés. Ceux-ci s’avèrent parfois, si ce n’est intéressants, au moins baisables. En toute franchise, ce n’était pas le cas ce soir-là.
Lorsque nous nous sommes retrouvé dans la rue à la fermeture, M. et moi-même avons cherché un autre bar dans la nuit froide et venteuse du mois de novembre. C’est en passant devant le Tom’s Bar que j’ai aperçu ce mec qui fumait une cigarette le regard peu assuré, de l’air de qui ne se sent pas tout à fait à sa place. Il était beau ce mec, sur les 25 ans, les yeux clairs, la mâchoire carrée, et la barbe blonde naissante tandis que ses cheveux mi-longs dépassaient de son capuchon. Sa veste laissait présager un physique musclé, bien charpenté, bandant. En tout cas largement de quoi me faire perdre le fil de la discussion avec M.
J’étais déjà tiraillé entre l’excitation immédiate qu’avait provoqué en moi la vue de ce mec devant une darkroom comme le Tom’s Bar, et la nécessité de proposer à mon ami une oreille attentive. C’est lorsque j’ai vu (en me retournant j’avoue) que le beau mec en question rentrait précisément au Tom’s Bar que j’ai compris que mon oreille attentive avait volé en éclat sous les coups de sang qui résonnait dans ma queue. Tant pis s’il me fallait ensuite trois semaines pour récupérer M. de son sentiment de trahison.
Après avoir déposé ma veste à l’entrée du Tom’s Bar, je me dirigeais directement au bar pour y prendre une bière et commençait à scruter la salle des yeux. C’est fascinant de voir à quel point les gens scrutent dans un bar tel que celui-ci, à la recherche de ce petit signe que les initiés comprennent comme une invitation à une baise en règle dans la darkroom adjacente.
Mais moi, je ne cherchais des yeux qu’un seul mec et il n’était pas là. Deux options s’offraient à moi: les toilettes ou la darkroom. Dans les deux cas, il était probablement déjà avec les pantalons ouverts et il me fallait donc le retrouver de toute urgence.
Après un bref détour par les toilettes où j’en profitais pour pisser sous des yeux alléchés mes bières précédentes, je pénétrais dans la darkroom avec la bouche salivante d’envie. Tandis que mes yeux s’habituaient à la quasi obscurité, je m’extasiais de retrouver cette puissante sensation qui bouscule instantanément les sens, tandis que l’odeur de poppers embaume une atmosphère dominée par les gémissements et le frôlement des corps humides. C’était par un besoin d’équilibre sensoriel que je me hâtais de donner à mes papilles gustatives la nourriture que j’étais venue chercher.
Quant on est bien foutu comme moi (oui oui…), avancer dans une darkroom relève du parcours d’obstacles. J’ai néanmoins finis par retrouver mon mec contre un mur, les pantalons sur les genoux et le t-shirt relevé passé derrière la nuque, laissant voir sa peau encore jeune, son torse légèrement poilu, ses abdos dessinés et sa taille fine, avec ces deux lignes marquées qui viennent délimités le bassin et qui m’excitent toujours à en crever, de chaque côté du corps. Sa respiration intense faisait se relever son ventre et on voyait les premières gouttes de sueur glisser le long se son corps. Tandis qu’un mec lui pompait la queue avec décision, il m’invita du regard à en faire de même et c’est avec le corps tremblant d’excitation que je me mis à genoux devant lui. Sa queue m’apparut alors dans toute sa dureté, droite et légèrement recourbée vers le haut, le gland déjà rouge et suffisamment grosse et épaisse pour m’obliger à réajuster ma position afin de la prendre entièrement en moi. Je le suçais avec ardeur, le plaquant de mes mains sur ses abdos contre le mur tandis qu’il me tenait fermement par les cheveux comme la salope que j’avais décidé d’être. Je lui léchais ses couilles dont l’odeur, mélange de sueur et d’urine, me fit définitivement perde pied. L’espace-temps se restreint alors pour moi à sa seule présence tandis que mes oreilles enregistraient ses gémissements avec bonheur.
Un groupe s’était rassemblé autours de nous mais je restais obsédé par son sexe et refusais (chose rare !) de sucer d’autres queues que la sienne. Quatre mecs environs se branlais autours de nous, touchant son corps et frottant leurs bites contre mon visage. Tandis que je recevais les premières gouttes de spermes sur ma nuque, mon mec m’avait ferré la tête de ses deux mains et me faisait avaler sa queue par des coups de bassin qui menaçait de me défoncer les amygdales. J’eu plusieurs fois un mouvement de rejet mais je continuais à avaler sa queue aussi profondément que possible, jusqu’à sentir les poils de son pubis contre mes lèvres.
Il m’arracha soudain de sa queue et me leva la tête pour me regarder dans les yeux lorsque son gland me jeta sur le visage quatre ou cinq jets de sperme dense et chaud. Il me frappa le visage avec sa queue tandis qu’une dernière goutte de sperme perlait au bout de son gland. Je lui léchais une dernière fois les couilles délicatement. Il me lança un regard vif et pénétrant de ses beaux yeux avant de remonter ses pantalons, me laissant à genoux au milieu d’une ronde de bites tendues vers ma bouche. Je le regardais s’éloigner tandis qu’un autre mec prenait déjà ma tête pour me remplir à nouveau la bouche.