Mardi 4 décembre 2 04 /12 /Déc 23:16

J’attendais mon U-Bahn dans la nuit déjà bien avancée de ce samedi du mois de novembre. Sur le quai, comme à chaque fois, des groupes de gens ivres buvaient, fumaient, attendaient. Des jeunes et des moins jeunes, des paumés et des moins paumés. Toute la faune hétéroclite qui fait la réputation des nuits berlinoises se croise sur ces quais. Tous ces jeunes mecs ivres, aux yeux à demi-absents mais à la gueule d’ange commençaient à sérieusement m’exciter.

 

Les sens en éveils, j’ai immédiatement remarqué dans le métro ce mec ultra sexy qui somnolait au fond du wagon, sa belle gueule appuyée contre la vitre. Les poches sous les yeux et le teint blafard trahissaient une nuit qui avait dû être chargée, mais cela ne faisait que le rendre plus bandant. J’ai toujours aimé cette nonchalance un brin comateuse. Ses cheveux lui descendaient en mèches sur le visage de façon chaotique, sa mâchoire bien nette contrastait avec la douceur de ses traits encore jeunes. Je bousculais sans m’en apercevoir un couple de jeune hétéro pour aller m’asseoir, quelques sièges plus loin, en face de cet ange brûlé.

 

C’est lorsque le métro a démarré qu’il a ouvert à demi ses beaux yeux noirs pour me dévisager du mieux qu’il pouvait. Moi en face, je le regardais fixement, les jambes légèrement écartées et la main droite sur mon jeans de manière à indiquer clairement la forme de mon sexe déjà durci. Tandis que le jeune couple dernière nous parlait de choses qui m’échappaient complètement, le mec a posé sa main sur la braguette de son pantalon tout en gardant les yeux fermés. J’ai senti à ce moment-là que la situation risquait de devenir foutrement excitante et j’ai dû me maitriser pour ne pas me jeter à ses genoux.

 

Il a remonté quelque peu son pull, suffisamment pour me laisser voir son caleçon surmonté d’une légère ligne de poils jusqu’à son nombril. Sa taille était parfaitement dessinée, nette et ferme. Il avait la crânerie de contracter ses abdos pour mieux m’en montrer les contours et m’en faire deviner la dureté. Ses yeux, toujours fermés, s’ouvraient parfois légèrement pour s’assurer de ma totale fascination au spectacle qu’il me préparait.

 

D’un geste sec, il a ouvert sa braguette, laissant apparaître du tissu noir prêt à exploser. Les stations défilaient, mais dans notre coin de métro, il n’y avait plus que sa bite et mon désir. Je le regardais avec avidité tout en sentant qu’il ne fallait pas que j’intervienne. Je me forçais à le laisser faire.

 

Lorsqu’il a déboutonné son pantalon et baissé son caleçon, j’ai d’abord aperçu ses poils pubiens, clairs et frisés, sans doute jamais encore épilés. Ses yeux toujours fermés et sa tête toujours appuyée contre la vitre, il a sorti sa bite de sa main droite, me laissant admirer une queue épaisse et droite, massive. Il a décalotté doucement pour laisser sortir un gland lisse, long et d’une belle couleur rosée. Sa queue bien en main, il s’est calé plus profondément dans son siège et à commencer à se branler sous mes yeux désireux avec sa main droite, tandis que sa main gauche maintenait son caleçon partiellement baissé. Il ne restait dans le wagon que nous et le couple dont la fille s’était tue, probablement endormie. Il continuait à masturber sa queue, la bouche légèrement entrouverte et poussant des petits râles du fond de sa gorge. Il s’est branlé comme ça pendant un temps que j’aurais voulu éternité, moi qui tentais de graver au plus profond de ma mémoire la vue de ce sexe puissant et odorant, dressé devant moi et à la vue de n’importe quel passager possible. Je voyais ses couilles qui bougeaient avec vigueur sous les mouvements violents de ses mains et ses poils qui trahissaient son jeune âge.

 

Il s’est soudain redressé sur son siège et a ouvert les yeux pour me fixer sans complaisance. Le message était clair, son éjaculation était imminente. Son gland a alors commencé à cracher les premières gouttes de spermes qui sont venus arroser le sol du métro avant que ma main ne vienne recueillir sa semence. Son corps a été traversé de spasmes secs et violents tandis qu’il tendait sa queue fermement avec sa main droite, la tapant contre mes mains pour bien y déposer tous le sperme qui restait. Son jus a ainsi coulé de son gland à la paume de mes mains, y formant comme un petit lac blanc et translucide. De mon pouce, je venais caresser délicatement le bout de son gland pour tirer de l’urètre les dernières traces de sperme, le touchant ainsi pour la première fois.

 

J’ai pu admirer encore quelques instants sa queue en semi-érection avant qu’il ne referme son caleçon, restant les pantalons ouverts sur son siège de métro, au coeur de la nuit berlinoise. Au creux de mes mains, son sperme blanc et dense que je gardais précieusement. Je compris que notre échange s’arrêtait là.

 

Au prochain arrêt, lorsque je me levais pour descendre, il rouvrit les yeux doucement et me sourit tendrement, toujours à moitié présent. Je passais en sortant à côté du jeune couple et ne pus m’empêcher de caresser au passage la tête du garçon, lui aussi endormi, avec ma main pleine de sperme. Sur ses cheveux étaient maintenant de délicat fils blancs que j’imaginais son amie découvrir avec curiosité. Le métro fila dans la nuit, me laissant apercevoir pour la dernière fois sans doute ce beau visage. Désormais loin de chez moi, j’attendis le métro en sens inverse en inspirant dans ma main l’odeur de son sperme encore un peu chaud.

 

 

 

Par Delicatement Incandescent
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Samedi 1 décembre 6 01 /12 /Déc 13:14

TomsBarJ’étais sorti simplement pour consoler mon ami M. qui me surprenait tout le temps par la complexité de ses problèmes. Nous nous sommes retrouvés dans un café de la Motzstrasse, en plein quartier chaud de Berlin. M. y a ses habitudes, j’ai donc partagé un verre avec lui et d’autres mecs assez peu intéressants, puis un deuxième verre. Berlin est une ville où beaucoup de gens vont et viennent et j’ai donc appris à me laisser surprendre par des inconnus dans des cafés. Ceux-ci s’avèrent parfois, si ce n’est intéressants, au moins baisables. En toute franchise, ce n’était pas le cas ce soir-là.

Lorsque nous nous sommes retrouvé dans la rue à la fermeture, M. et moi-même avons cherché un autre bar dans la nuit froide et venteuse du mois de novembre. C’est en passant devant le Tom’s Bar que j’ai aperçu ce mec qui fumait une cigarette le regard peu assuré, de l’air de qui ne se sent pas tout à fait à sa place. Il était beau ce mec, sur les 25 ans, les yeux clairs, la mâchoire carrée, et la barbe blonde naissante tandis que ses cheveux mi-longs dépassaient de son capuchon. Sa veste laissait présager un physique musclé, bien charpenté, bandant. En tout cas largement de quoi me faire perdre le fil de la discussion avec M.

J’étais déjà tiraillé entre l’excitation immédiate qu’avait provoqué en moi la vue de ce mec devant une darkroom comme le Tom’s Bar, et la nécessité de proposer à mon ami une oreille attentive. C’est lorsque j’ai vu (en me retournant j’avoue) que le beau mec en question rentrait précisément au Tom’s Bar que j’ai compris que mon oreille attentive avait volé en éclat sous les coups de sang qui résonnait dans ma queue. Tant pis s’il me fallait ensuite trois semaines pour récupérer M. de son sentiment de trahison.

Après avoir déposé ma veste à l’entrée du Tom’s Bar, je me dirigeais directement au bar pour y prendre une bière et commençait à scruter la salle des yeux. C’est fascinant de voir à quel point les gens scrutent dans un bar tel que celui-ci, à la recherche de ce petit signe que les initiés comprennent comme une invitation à une baise en règle dans la darkroom adjacente.

Mais moi, je ne cherchais des yeux qu’un seul mec et il n’était pas là. Deux options s’offraient à moi: les toilettes ou la darkroom. Dans les deux cas, il était probablement déjà avec les pantalons ouverts et il me fallait donc le retrouver de toute urgence.

Après un bref détour par les toilettes où j’en profitais pour pisser sous des yeux alléchés mes bières précédentes, je pénétrais dans la darkroom avec la bouche salivante d’envie. Tandis que mes yeux s’habituaient à la quasi obscurité, je m’extasiais de retrouver cette puissante sensation qui bouscule instantanément les sens, tandis que l’odeur de poppers embaume une atmosphère dominée par les gémissements et le frôlement des corps humides. C’était par un besoin d’équilibre sensoriel que je me hâtais de donner à mes papilles gustatives la nourriture que j’étais venue chercher.

Quant on est bien foutu comme moi (oui oui…), avancer dans une darkroom relève du parcours d’obstacles. J’ai néanmoins finis par retrouver mon mec contre un mur, les pantalons sur les genoux et le t-shirt relevé passé derrière la nuque, laissant voir sa peau encore jeune, son torse légèrement poilu, ses abdos dessinés et sa taille fine, avec ces deux lignes marquées qui viennent délimités le bassin et qui m’excitent toujours à en crever, de chaque côté du corps. Sa respiration intense faisait se relever son ventre et on voyait les premières gouttes de sueur glisser le long se son corps. Tandis qu’un mec lui pompait la queue avec décision, il m’invita du regard à en faire de même et c’est avec le corps tremblant d’excitation que je me mis à genoux devant lui. Sa queue m’apparut alors dans toute sa dureté, droite et légèrement recourbée vers le haut, le gland déjà rouge et suffisamment grosse et épaisse pour m’obliger à réajuster ma position afin de la prendre entièrement en moi. Je le suçais avec ardeur, le plaquant de mes mains sur ses abdos contre le mur tandis qu’il me tenait fermement par les cheveux comme la salope que j’avais décidé d’être. Je lui léchais ses couilles dont l’odeur, mélange de sueur et d’urine, me fit définitivement perde pied. L’espace-temps se restreint alors pour moi à sa seule présence tandis que mes oreilles enregistraient ses gémissements avec bonheur.

Un groupe s’était rassemblé autours de nous mais je restais obsédé par son sexe et refusais (chose rare !) de sucer d’autres queues que la sienne. Quatre mecs environs se branlais autours de nous, touchant son corps et frottant leurs bites contre mon visage. Tandis que je recevais les premières gouttes de spermes sur ma nuque, mon mec m’avait ferré la tête de ses deux mains et me faisait avaler sa queue par des coups de bassin qui menaçait de me défoncer les amygdales. J’eu plusieurs fois un mouvement de rejet mais je continuais à avaler sa queue aussi profondément que possible, jusqu’à sentir les poils de son pubis contre mes lèvres.

Il m’arracha soudain de sa queue et me leva la tête pour me regarder dans les yeux lorsque son gland me jeta sur le visage quatre ou cinq jets de sperme dense et chaud. Il me frappa le visage avec sa queue tandis qu’une dernière goutte de sperme perlait au bout de son gland. Je lui léchais une dernière fois les couilles délicatement. Il me lança un regard vif et pénétrant de ses beaux yeux avant de remonter ses pantalons, me laissant à genoux au milieu d’une ronde de bites tendues vers ma bouche. Je le regardais s’éloigner tandis qu’un autre mec prenait déjà ma tête pour me remplir à nouveau la bouche.

Par delicatement-incandescent
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